Quand Jack White – l’ex-leader des White Stripes – goes solo pour la première fois en 2012, ça donne Blunderbuss, et en particulier ÇA :
[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=s92smjLq_38]
—
Charge me with assault
Des percussions qui entament de la meilleure des manières ce morceau énergique, définitivement rock. Puis ce riff tellement brut, tellement efficace à la Telecaster. Et la voix de Jack White qui vient se mêler, se jeter en avant dans un grand 8 dont la guitare loufoque vient marquer les loopings et les vrilles.
She does what she wants to me
Freedom At 21, c’est aussi l’aveu de faiblesse assumé avec tellement de puissance qu’il redonne force. Ou plutôt c’est l’homme qui cède à la passion, tantôt subit, tantôt assume pour se redonner une contenance. Elle le maîtrise avec ses “two black gadgets in her hands“, mais après tout, cela semble lui plaire à lui … J’ai l’impression d’entendre Iggy Pop (I Wanna Be Your Dog !). Il décide délibérément de se laisser faire par cette femme forte et libre.
Cuz she’s got freedom in the 21st century
Jack White a montré sa liberté de se lancer en solo de la meilleure des manières, et reste fidèle à ce rock brut, rythmé, aux riffs et solos endiablés. Mais je ne vais pas vous priver d’un petit souvenir des White Stripes avec le terrible You Don’t Know What Love Is (You Just Do What You’re Told)
[youtube=https://www.youtube.com/watch?v=YLmIlVJYEtw]
—
Enjoy !