L’histoire trépidante (ou non) de la découverte de Dear To Me du groupe Electric Guest. À partir de maintenant, toutes les phrases rimeront en é ou è. La raison en est délibérément, par l’auteur, cachée.
Découverte circonstanciée
Je me baladais les mains dans mes poches crevées. Ou plutôt sur mon volant cerclé. Dans une bobAutolib’, en effet. Nova retentissait (bobo encore, tout à fait). Un morceau j’ai shazamé. Un groupe que je ne connaissais point chantait. Electric Guest ils s’appelaient.
À un petit-déjeuner pour découvrir le nouvel album d’Asgeir je me rendais. Entre un croissant et un pain au chocolat, j’écoutai. Du retour d’Electric Guest j’entendis parler. Coïncidence trop forte pour ne pas relayer.
Dear To Me de Electric Guest : scié
Rentré chez moi, je me précipitai. Sur Youtube, le shazamé Zero je ne trouvais. Album pas encore sorti, à ce qu’il paraît. Par dépit, Dear To Me j’ai écouté. Et amoureux, je suis tombé.
Enjoué, rythmé, ensoleillé mais aussi calibré, maîtrisé, perfectionné. Dear To Me réunit toutes les qualités.
Electric Guest, à ne pas manquer.