Ce beau 02.02, nous étions à L’Olympia pour le premier des deux concerts complet de Foals. Nos ressentis, les moments forts et… la setlist-playlist en bonus.
Contexte : mal placés. Causes identifiées : la circulation, avoir pensé que le concert était d’abord au Zénith (‘t’es sérieux Socrate ??‘ a dit Délice), une pause technique et un petit supplément ‘queue pour prendre une pinte et pourquoi L’Olympia et le seul lieu à ne pas avoir le paiement sans contact‘. Tout ceci résultant en un placement très à l’arrière de la salle, sous les balcons. Le plafond bas à l’arrière de L’Olympia semble réduire fortement la diffusion de la voix. Une vraie déception de ne pas avoir pu profiter au mieux de la voix si particulière de Yannis Philippakis.
Riche mix : le moins que l’on puisse dire est que Foals avaient concocté une setlist riche et variée, piochant dans l’indé Antidotes, le planant Total Live Forever, la pop dynamique de Holy Fire et le rock de Mountain At My Gates et alternant en permanence entre des registres très variés. La patte de Foals est toujours présente, mais l’on passe de crescendos haletants à d’énormes riffs dont la saturation des guitares évoque le hard rock.
De vraies fulgurances : Certains morceaux joués par Foals – pas forcément nos préférés en version studio – nous ont définitivement emportés. Spanish Sahara bien sûr, mais aussi le combo surprenant Late Night – A Knife In The Ocean – Inhaler en fin de concert. L’enchaînement était tout simplement parfait (à revivre avec la playlist du concert ci-bas)
Ça nous a sauté aux yeux : la puissance des riffs de Foals, quels qu’ils soient. Mis bout à bout, c’est à couper le souffle. Les crescendos haletants sur lequel sont construits les meilleurs morceaux du groupe natif d’Oxford est un autre point saisissant en live, valant la peine d’être vécus.
Setlist (et playlist) du concert de Foals à L’Olympia (02.02.16)
Notre note (Socrate Flagrant et Flagrant Délice) :
Foals : iii
Enthousiasmant. Des fulgurances que l’on n’oubliera pas de sitôt
Le baromètre de notation Indeflagration évolue de i (déconseillé) à iiii (indispensable)